
L’ostéopathie a été crée par Andrew Taylor Still en 1874. Mr. Still était en fait médecin et chirurgien aux États-Unis dans la ville de Kirksville au Missouri. La première école d’ostéopathie fut fondée dans cette ville le 10 mai 1892.
Connaissant un grand succès auprès de la population, l’ostéopathie fut reconnue en 1898 en tant que profession par l’état du Vermont. C’est sous la présidence de Théodore Roosevelt qu’elle rentra dans la liste des professions reconnues par les États-Unis d’Amérique. Ce dernier avait lui-même été traité avec succès en ostéopathie.
Par la suite, l’ostéopathie américaine évolua vers une pratique médicale et chirurgicale, oubliant les principes de base de la thérapie manuelle et de la palpation. Seule l’American school of ostéopathie garda la façon traditionnelle de faire en ostéopathie.
L’ostéopathie pris ensuite racine en Europe en 1917, plus précisément en Angleterre. Le gouvernement anglais mit sur pied en 1993, l’Osteopaths Act, plaçant les ostéopathes au même niveau que les médecins et dentistes. En France, l’ostéopathie pris essor plus vers les années 60.
Allons chez nous maintenant !
Au Canada, la première école, soit le Collège d’Études Ostéopatiques (CEO), fut fondée au Québec le 11 mars 1981. Puis, en 1986, le Centre Ostéopatique du Québec (COQ) fut fondé.
Les fondateurs du CEO ont aussi mis sur pied le registre des ostéopathes du Québec et l’association des ostéopathes du Québec en 1997.
Depuis 1993, le CEO et le COQ sont en pourparlers avec le ministère de l’éducation et l’office des professions pour que le diplôme soit reconnu au Québec. Récemment (printemps 2015) l’office des professions a accepté d’entamer le processus qui devrait mener vers la reconnaissance de la profession au Québec.
Chez Physiomedic, trois de nos thérapeutes en physiothérapie ont aussi une formation en ostéopathie dans une des deux écoles les plus réputées au Québec. Vous pouvez donc bénéficier de traitements d’ostéopathie ou de physiothérapie avec approche ostéopathie selon la couverture de vos assurances.